Textes collectifs et articles

Le journal La Gruyère m'a fait l'honneur et la joie de me proposer d'écrire le conte de Noël, illustré par Frédéric Michaud, pour l'édition du 24 décembre 2022. Un soupçon de magie, de l'émerveillement pour Lisa dans une promenade en forêt peu ordinaire!

Retrouvez le texte ci-dessous. 

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La magie au bout du chemin, Manuela Ackermann-Repond, 24.12.22
p020-20 - Conte de Noël.pdf
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Raconte-moi Montsalvens, entre lac et montagnes

Ed. Montsalvens, 2022

Collectif de 50 auteurs et notice historique de Jean Rime : Montsalvens, lieu de mémoire.

 

J'y ai écrit la nouvelle qui clôt le recueil, Au détour de la route.


J'ai contribué aux numéro un et deux de la revue littéraire L'écritoire

Disponible en librairies et sur le site https://www.l-ecritoire.ch/vente-abonnements/


Lire, la première expérience de réalité virtuelle ? Site ActuaLitté, 25.03.2019

https://actualitte.com/article/14198/numerique/lire-la-premiere-experience-de-realite-virtuelle

 

 

 

Les migrations, un monde à réinventer ? Site ActuaLitté, 03.12.2018

https://actualitte.com/article/15992/international/migrations-un-monde-a-reinventer

 

Grâce au programme pour la relève littéraire de la Fondation pour l'Ecrit, j'ai eu la chance d'écrire deux article sur le site ActuaLitté.

 


Noir et Blanc (collectif)

NOUVELLES

Editions Hélice Hélas

isbn : 978-2-940522-47-7

 

 J'y ai imaginé la nouvelle Aube vive,  écrite lors d'un concours en live, où une peintre raconte les affres de son art, du noir au blanc...

 

Les auteurs sont tous fribourgeois, deux hommes et onze femmes, entre la vingtaine et la cinquantaine, qui ont écrit sur le thème cantonal et universel du Noir et du Blanc. Il y a à la fois une unité due au thème et une grande variété de points de vue, d’écritures, de tons.

 

couverture Noir et Blanc - collectif


Le recueil du concours du Scribe d'Or

Nouvelle Fascination pour un tableau, pour laquelle j'ai reçu le 2e prix, Scribe d'Argent.

 

Extrait:

"Je ne savais plus pourquoi j’étais là , dans cette exhibition d’art, qui me l’avait conseillée, je ne voulais plus rien d’autre que me perdre dans cette représentation fantastique d’un jardin vivant, me rendre tout au fond de ce lieu, parmi les plantes, m’alanguir sous les arbres, dont l’ombre paraissait si accueillante par une journée de fournaise."